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L’agrivoltaïsme désigne l’installation de panneaux photovoltaïques sur des parcelles agricoles. Ce système innovant combine la production d’énergie solaire et l’agriculture, permettant de maximiser l’utilisation des surfaces disponibles tout en minimisant l’impact sur les ressources agricoles.
L’objectif est de concilier la production électrique avec des activités agricoles, sans les mettre en concurrence. L’agrivoltaïsme permet ainsi de tirer profit des grandes surfaces tout en préservant l’espace pour l’agriculture.
Si vous êtes le propriétaire et/ou l’exploitant d’un terrain agricole sur lequel vous souhaitez monter un parc solaire, alors il est fortement conseillé de monter un projet agrivoltaïque. En effet, la consommation d’espaces agricoles est un sujet sensible en France, et les services de l’Etat sont peu enclins à autoriser une diminution de ces espaces. Heureusement, il est possible de trouver des synergies entre un projet photovoltaïque et des itinéraires techniques agricoles.
Lorsqu’un projet de parc solaire est construit en partenariat avec un agriculteur, dans le but de créer un projet mixte entre agriculture et production d’énergie ou chaque atelier apporte une plus-value à l’autre, on parle de projet agrivoltaïque.
Il existe déjà plusieurs parcs sur ce principe en France, de l’élevage sous panneaux (ovins, bovins) ou bien de la culture (petits fruits, légumes, vignes) protégée par les installations solaires.
Enfin, il est important de savoir que ce sujet étant en train de faire son apparition, la réglementation également est en formation autour de l’agrivoltaïsme. Vous pouvez suivre nos articles pour vous tenir à jour de ces sujets.
Un parc de production d’énergie renouvelable (ENR dans le jargon technique) est un ensemble à grande échelle de moyens de production d’électricité tel que des panneaux solaires ou des éoliennes. Ce sont les technologies les plus courantes mais ce ne sont pas les seules: on peut aussi rencontrer la méthanisation, la géothermie, l’hydroélectricité, l’énergie marée-motrice …
Typiquement, les parcs de production industriels ont une capacité installée d’une dizaine de mégawatts (MW) au moins. Cela correspond à 5 éoliennes ou alors 10 ha de panneaux solaires.
☀️ Un parc photovoltaïque est constitué de rangées de «modules» (un autre nom pour désigner un panneau solaire) installés sur des supports afin de les orienter de manière optimale pour l’exposition au soleil, typiquement dans l’hexagone inclinés en direction du sud, de 15 à 30°. Ces supports peuvent être pivotants, ou même flottants pour installer un parc sur une surface en eau. D’autres installations sont présentes, en particulier des onduleurs, pour transformer le courant continu en courant alternatif, et des transformateurs, pour élever la tension du courant en vue de l’injecter dans le réseau. L’accès au parc est restreint par son exploitant du fait du risque électrique, et une clôture entoure le site.
🌬️ Un parc éolien est constitué de plusieurs éoliennes (pour des questions de mutualisation des coûts, il est très rare de voir un parc comptant moins de 3 aérogénérateurs), espacées de plusieurs centaines de mètres les unes des autres. Les éoliennes sont reliées entre elle parc des câbles enfouis, menant au poste de livraison.
Plusieurs facteurs sont importants pour déterminer si un site est adéquat ou non pour accueillir des panneaux photovoltaïques.
L’ensoleillement : le principal critère est l’exposition du site au soleil. Une orientation vers le sud en pente douce est optimale, mais des projets viables sont toujours possibles avec d’autre exposition, l’ensoleillement naturel du site jouant également une part importante dans le calcul du potentiel du site. Par exemple, un site à côté de Marseille aura un ensoleillement 50% supérieur à un site dans la région de Lille. Il est aussi à noter que la présence de relief ou d’arbres faisant de l’ombre sur le terrain peut impacter l’ensoleillement et nuire au potentiel du site.
La nature du terrain est un autre critère important. La production d’énergie est à concilier avec les autres activités du territoire. Cela concerne particulièrement l’agriculture, et il est plus difficile d’obtenir les autorisations pour construire un parc solaire sur des parcelles agricoles, même peu productives. Les projets pouvant s’implanter en zones agricoles doivent faire preuve d’une vraie vleure ajoutée (voir : projet agri-voltaïque). La réglementation à ce sujet est encore changeante car elle doit s’adapter à l’apparition de ce nouveau mode de production. Les sites les plus intéressants sont les terrains incultes ou les anciens sites pollués ou industriels. A l’inverse, il est difficile d’entreprendre un projet sur des parcelles boisées, à forte valeur environnementale, ou agricoles.
Toutefois, si le projet justifie d’une valeur ajoutée à l’activité agricole, il est alors possible d’obtenir des autorisations : on parle alors de projet agrivoltaïque.
Voici une liste non exhaustive d’autres points forts potentiels d’un projet solaire :
Que ce soit pour un parc éolien ou photovoltaïque, le processus d’obtention des autorisations et de construction est long, en moyenne 3 à 5 ans pour un projet photovoltaïque et 6 à 10 ans pour un parc éolien. De plus le développement et la construction demande des investissements importants. C’est pourquoi des sociétés se sont spécialisées dans le portage de ces projets, appelés les développeurs.
L’état demande un dossier très complet au porteur de projet afin de justifier de son bien-fondé, et des études d’impact poussées sont nécessaires. Les études concernent le paysage, l’environnement, la géologie, l’aviation, les risques, et sont menées par des bureaux d’études indépendants.
Le développeur fait ensuite appel à des fabricants pour leur fournir les panneaux solaires ou éoliennes en amont du chantier. Une fois le parc en activité, un exploitant entretient le parc le long de sa vie, à minima 20 ans, et vend l’électricité sur le marché.
Pour une puissance nominale de 1 kW installée en France (5 m2 de panneaux orientés au sud), la production annuelle est d’environ 1300 kWh (1,3 MWh), soit un peu plus de la moitié de la consommation électrique moyenne d’un français (2200 kWh/an). Cela correspond à un facteur de charge moyen de 15 %.
Le facteur de charge correspond au rapport entre l’énergie effectivement produite et celle qui aurait été produite si le panneau PV avait fonctionné à sa puissance nominale pendant toute la durée considérée. C’est une manière de mesurer l’écart entre les conditions réelles (ensoleillement variable, nuit, température…) et les conditions nominales (éclairement solaire de 1 kW/m2 à 25°C).
Les cartes ci-dessous donnent la distribution sur le territoire du facteur de charge et de la production par kW nominal (aussi appelé kWc). A l’échelle des régions, elles montrent que la production d’électricité photovoltaïque est en moyenne 50 % plus élevée dans le sud de la France que dans le nord.
La durée de vie d’une installation est estimée à 30 ans, avec une perte d’efficacité de l’ordre de 0,5 % par an. Les fabricants de panneaux PV garantissent une durée de vie de 25 à 30 ans, pendant laquelle la puissance reste au moins égale à 80 % de la valeur
nominale. La dégradation peut varier selon le type de module et l’environnement.
Oui, le solaire photovoltaïque est soutenu par des aides publiques, comme la plupart des sources d’énergie décarbonées. Il s’agit essentiellement de primes à l’installation ou de tarifs d’achat garantis sur des contrats de 20 ans.
Oui beaucoup plus ! En France, un système photovoltaïque formé d’un module en silicium monocristallin fournit l’énergie qui a été nécessaire pour sa fabrication et son cycle de vie en 1 an. Ce temps de retour énergétique a été divisé par deux entre 2015 et 2020. Pour plus d’information, consulter notre article.
Un panneau solaire, ou panneau photovoltaïque, est composé de centaines de petites cellules qui produisent de l’électricité sous l’action de la lumière du soleil. Ces cellules photovoltaïques sont généralement en silicium et produisent un courant continu. Ce courant passe ensuite par un onduleur, qui le transforme en courant alternatif.
Ce mode de production est aussi bien adapté à petite échelle, par exemple un panneau sur le toit en auto consommation, qu’à grande échelle, comme dans le cas d’un parc solaire de plusieurs hectares, injectant l’électricité produite sur le réseau.
Un panneau PV requiert de nombreux éléments. Il faut à la fois des matériaux fonctionnels (Si, Ag…) qui participent directement à la conversion d’énergie ; et des matériaux de structure liés au module (Al, verre, plastiques…) et à l’installation (acier, béton…). Les matériaux fonctionnels représentent 50 % du coût, mais moins de 5 % de la masse. Pour plus de détails, consultez notre article.
Oui le recyclage des panneaux PV est possible, la collecte et le traitement en fin de vie des modules et de l’onduleur sont d’ailleurs obligatoires. En masse, jusqu’à 95 % d’un module peut être valorisé. Néanmoins, valoriser ne signifie pas recycler car les matériaux perdent en valeur dans le processus. Pour plus d’informations, nous avons fait un article sur ce sujet ici.
A ce jour il n’y a pas de consensus sur l’impact des systèmes PV sur les températures urbaines.
Le photovoltaïque flottant désigne des installations photovoltaïque situées sur des étendues d’eau (le plus souvent douce). Certains avantages potentiels tels que la grande disponibilité de ces zones et des bénéfices secondaires tels que la réduction de l’évaporation de l’eau, rendent ces installations attractives et expliquent leur fort développement actuel dans le monde.
En veillant à préserver les berges avec un retrait minimal de 10 mètres, il est envisageable d’installer des fermes solaires sur divers plans d’eau pour la production d’énergie. Cela inclut les lacs, anciennes zones minières, étangs et réservoirs d’eau.
La technologie pour les parcs en mer n’étant pas encore mature, nous limitons pour l’instant les parcs flottants aux surfaces en eau douce.
Avant d’installer un parc, nous réalisons une étude de faisabilité. Celle-ci permet de garantir la viabilité technique et économique du projet, tout en tenant compte des enjeux environnementaux.
Le fonctionnement d’une ferme solaire flottante est similaire à celui d’une installation photovoltaïque terrestre. Les panneaux solaires sont fixés sur des structures flottantes qui sont ancrées à l’aide de câbles aux berges ou au fond.
La mise en place d’une centrale solaire flottante doit se conformer à un ensemble de régulations environnementales et administratives. Tout d’abord, il faut que l’autorité administrative délivre un permis de construire au porteur de projet. Celui-ci demande une étude d’impact détaillée. De plus, le projet doit être en adéquation avec les règles locales en matière d’urbanisme. Enfin, au dela de l’aspect législatif, il faudra que le porteur de projet sécurise le rachat de l’électricité produite.
Nous pouvons aborder ce dernier point de différentes manières : obtenir un tarif d’achat par l’État, conclure un contrat d’achat de l’énergie avec un acteur privé (généralement un industriel local), ou encore pratiquer l’autoconsommation collective.
En plus des actions de maintenance classiques pour un parc solaire, telles que celles concernant les installations électriques (modules photovoltaïques, câbles, onduleurs, transformateurs), les structures de support doivent également être inspectées régulièrement. De même, les câbles de la centrale doivent faire l’objet d’inspections afin de détecter d’éventuels signes de corrosion, d’usure ou de dommages.
Il est évidemment difficile de répondre à cette question de manière précise, puisque les bénéfices dépendent de qui a réalisé l’investissement, et du business plan du parc photovoltaïque. Néanmoins, on peut garder en tête que des loyers annuels jusqu’à 5000 € à l’hectare sont pratiqués.
Les parcs photovoltaïques s’intègrent bien à diverses productions agricoles. L’élevage (bovin, ovin, porcin, caprin, volailles), que ce soit dans des bâtiments ou en pâturages, en tire un grand bénéfice, notamment grâce à l’amélioration du confort thermique des animaux. Les vergers, le maraîchage (particulièrement sous serre) et les cultures de petits fruits se révèlent également compatibles.
De plus, les plantes grimpantes comme le houblon et la vanille profitent à la fois de l’ombre et du support fournis par les panneaux solaires.
L’installation de panneaux solaires dans les grandes cultures (open-field) reste un défi. Ces cultures nécessitent le passage d’engins agricoles, ce qui impose une installation en hauteur, et certaines (maïs, canne à sucre) exigent un fort ensoleillement.
Cependant, des projets pilotes montrent qu’il est envisageable d’intégrer des systèmes agrivoltaïques dans de grandes cultures. Ces projets pourraient se développer à condition de bénéficier d’un ensoleillement optimal, d’un terrain plat, et d’une grande surface disponible.
Les projets agrivoltaïques sont complexes et souvent pris en charge par des spécialistes du développement de parcs photovoltaïques. Ces acteurs financent l’intégralité du projet, en assumant les risques financiers et les coûts d’installation. En contrepartie, ils deviennent propriétaires du parc.
Pour les exploitants agricoles, cette solution est avantageuse : l’installation est gratuite, et ils perçoivent des revenus sous forme de loyers pour l’utilisation de leurs terres.
Oui, les panneaux solaires sont parfaitement compatibles avec le bien-être animal. Lorsqu’ils sont correctement installés, ils ne présentent pas de danger. Des mesures de sécurité comme la protection des équipements électriques et une surveillance régulière assurent la sécurité du bétail.
De plus, l’ombrage créé par les panneaux contribue au confort thermique des animaux, réduisant leur stress pendant les périodes de fortes chaleurs.
Le revenu dépend du type d’accord avec l’investisseur. En général, les loyers annuels atteignent jusqu’à 1500 €/hectare, soit environ 150 €/an pour 1000 m². Ce montant peut varier en fonction des spécificités du projet.
Source: Acte agri plus
Sous les panneaux solaires, l’évapotranspiration diminue, réduisant le stress hydrique des cultures. La conception des panneaux permet de mieux répartir l’eau de pluie, grâce au ruissellement et à la perméabilité des installations.
La présence de panneaux génère une hétérogénéité de l’eau reçue au niveau du sol : certaines zones ne reçoivent plus d’eau de pluie, d’autres reçoivent un surplus d’eau lié au ruissellement de l’eau de pluie sur les panneaux. La mobilité, la perméabilité des panneaux permettent d’améliorer la distribution de l’eau de pluie sur les parcelles exploitées en agrivoltaïsme.
L’intégration de capteurs dans les systèmes agrivoltaïques permet d’analyser l’impact des panneaux solaires sur le microclimat situé en dessous. Dans divers projets de recherche, les données recueillies sont comparées à celles mesurées en plein champ. Cependant, les études sur la température de l’air sous les panneaux ont conduit à des résultats divergents, probablement en raison des variations dans les conditions expérimentales.
Oui, il est tout à fait possible de transformer un terrain pollué ou en friche en parc solaire. De nombreuses fermes solaires et ombrières photovoltaïques sont installées sur ce type de terrain.
Cela permet de réhabiliter des sites tout en contribuant à la transition énergétique.
Les terrains pollués ou dégradés varient en fonction de leur origine et des types de pollution. Voici les principaux types de sites concernés :
On peut réhabiliter ces terrains pollués et les transformer en parcs solaires, contribuant ainsi à la production d’énergie renouvelable tout en préservant l’environnement.
La construction d’un parc solaire sur un terrain pollué nécessite des étapes spécifiques pour éviter la propagation des contaminants et réhabiliter le site. Le processus inclut :
Ces étapes assurent la sécurité du projet et la protection de l’environnement tout en permettant la transformation du terrain en espace productif d’énergie.
Oui, des aides financières existent pour encourager la réhabilitation des sites pollués en France. Ces aides comprennent :
Pour maximiser vos chances de financement, explorez également les dispositifs régionaux et européens disponibles. Ils peuvent compléter votre budget tout en accélérant la mise en œuvre de votre centrale solaire.
Le rendement d’une centrale solaire sur un terrain contaminé varie en fonction de plusieurs facteurs. L’ensoleillement des panneaux solaires joue un rôle crucial, tout comme les caractéristiques spécifiques du site. Grâce aux technologies photovoltaïques modernes, il est possible d’obtenir d’excellents rendements énergétiques, même sur des surfaces réduites.
Pour une analyse précise adaptée à votre projet, n’hésitez pas à contacter nos équipes. Elles pourront vous fournir des conseils personnalisés et répondre à vos questions.
Les friches industrielles sont souvent exposées à des polluants ou à des infrastructures anciennes. Une dépollution et une remise en état du terrain sont donc indispensables. Ces travaux permettent d’assurer un environnement sûr et stable pour accueillir une centrale solaire.
Oui, dépolluer votre terrain est une étape clé avant d’installer une centrale solaire, en particulier sur une friche industrielle. Cette démarche est obligatoire pour garantir la sécurité, la conformité réglementaire et la durabilité de votre projet solaire.
Investir dans un projet solaire sur une friche industrielle présente plusieurs bénéfices :
Ces travaux vous ouvrent la voie pour exploiter une source d’énergie renouvelable tout en réhabilitant un espace inutilisé.
Une ombrière photovoltaïque est une structure équipée de panneaux solaires qui produit de l’électricité tout en offrant de l’ombre. Elle est couramment utilisée dans les parkings, aires de repos et espaces publics, et protège les véhicules en réduisant leur température intérieure. Selon la Loi sur l’Accélération de la Production des Énergies Renouvelables, tous les parkings de plus de 1500 m² doivent désormais être couverts à 50 % par des ombrières solaires.
Un hangar solaire remplit deux fonctions : abriter des équipements ou véhicules tout en produisant de l’électricité grâce aux panneaux solaires installés sur le toit. Cette solution est particulièrement avantageuse pour les secteurs agricoles et industriels. L’énergie produite peut être autoconsommée ou revendue, réduisant ainsi les coûts énergétiques. Dans certains cas, le développeur finance la construction du hangar en échange de l’utilisation de la toiture pour la production d’énergie.
Les étapes de la construction d’un hangar solaire incluent :
Une serre photovoltaïque combine une serre traditionnelle avec des panneaux solaires. Elle permet de cultiver des plantes tout en produisant de l’énergie pour l’autoconsommation ou la revente. En plus de protéger les cultures des intempéries, cette technologie optimise l’utilisation de l’espace et réduit les coûts énergétiques.
Les serres photovoltaïques utilisent principalement des panneaux monocristallins ou polycristallins, qui diffèrent par leur méthode de fabrication et leur efficacité. Il existe également des panneaux solaires transparents, permettant de laisser passer la lumière naturelle tout en produisant de l’énergie.
Sous une serre photovoltaïque, de nombreuses plantes peuvent pousser, notamment des légumes (tomates, courgettes), des fruits (fraises, framboises), des plantes médicinales (menthe, romarin), ainsi que des fleurs et des plantes exotiques.
Les ombrières photovoltaïques sont des structures qui produisent de l’électricité tout en offrant de l’ombre. Elles peuvent être installées sur des parkings, terrasses ou aires de jeux, et protègent efficacement contre la chaleur et les rayons UV.
Les ombrières photovoltaïques offrent des solutions flexibles et durables pour divers sites, tels que les parkings, hôpitaux et centres commerciaux. Conçues avec des matériaux résistants aux intempéries, elles sont durables, nécessitent peu d’entretien et permettent de générer de l’énergie tout en offrant une protection solaire.
Les ombrières photovoltaïques peuvent être installées sur tout type d’espace extérieur, sans nécessiter de structure préexistante. Elles protègent des rayons UV tout en créant un espace couvert, que ce soit pour des parkings, parcs ou terrains de jeux.
En moins de 5 minutes, vous pouvez vous inscrire sur le site Mon Parc Solaire. Ensuite, un conseiller dédié vous contactera pour vérifier si votre terrain est éligible et, si c’est le cas, il vous aidera à concevoir le projet le plus adapté à vos besoins.
Une fois que vous signez l’accord foncier avec Mon Parc Solaire, vous louez votre terrain via un bail emphytéotique en échange d’un loyer convenu. Dès que nous obtenons les autorisations administratives, nous prenons en charge toutes les démarches nécessaires. Ensuite, nous construisons le parc solaire, et vous commencez à percevoir vos revenus locatifs.
Différents types de terrains peuvent être éligibles à l’offre de Mon Petit Parc Solaire.
Cependant, les terrains situés dans des zones protégées, comme les sites patrimoniaux, monuments historiques ou parcs nationaux, ne sont pas éligibles. Faites appel à nos équipes pour vérifier l’éligibilité de votre terrain.
Les projets solaires au sol d’une puissance égale ou inférieure à 1 MWc sont plus rapides à mettre en place que les projets plus importants, grâce à une réglementation simplifiée pour les terrains de 1 à 3 hectares.
La première étape consiste à soumettre une demande à la DREAL (Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), qui décidera en 35 jours si une étude d’impact environnemental est nécessaire, contrairement aux projets plus grands, pour lesquels cette étude prend un an.
Ensuite, il faudra obtenir une autorisation d’urbanisme, qui se limite à une déclaration préalable validée par la mairie sous un mois.
En tout, il faut environ 3 mois pour obtenir les autorisations nécessaires à la construction d’un petit parc solaire sur un terrain de 1 à 3 hectares.
Le raccordement au réseau électrique se fait ensuite via Enedis, qui permet aux petites centrales d’utiliser des postes HTA/BT si la source est éloignée. Enfin, la centrale est construite, et la mise en service se fait en 12 à 18 mois. En comparaison, les projets de plus grande envergure peuvent prendre entre 3 et 5 ans, ce qui fait des petites centrales une solution rapide et efficace.
Absolument. Les terrains agricoles en friche constituent des emplacements idéaux pour les fermes solaires. Ces terres planes et dégagées, souvent situées dans des zones ensoleillées, permettent de maximiser la production d’énergie.
Il faudra cependant dans la plupart des cas en profiter pour réhabiliter le terrain dans son usage agricole, au travers d’un projet agrivoltaïque.
L’installation de panneaux solaires revalorise ces terrains, dynamisant les zones rurales tout en contribuant à la transition énergétique.
Entreprise Mon Parc Solaire
1, place Saint Louis, 78550 Bazainville